Le premier ministre du Canada a pris douze jours pour réagir à la décapitation d’un professeur français, Samuel Paty, par un intégriste radical islamiste. Ce professeur dans le cadre de son enseignement, avait montré les fameuses caricatures de Mahomet afin que ses élèves sachent de quoi il parlait. Le président français s’est engagé aussitôt à combattre le virus islamique rampant en France. Devant les menaces terroristes, Macron a déclaré : « Nous ne céderons rien ».
Du côté de Justin Trudeau.
Ce n’est que douze jours plus tard, que Trudeau, au nom de la liberté d’expression, a finalement dénoncé cet attentat terroriste, mais en prônant qu’on réduise la tension pour ne pas attiser les flammes. Interrogé sur le droit de dessiner Mahomet, Justin Trudeau a affirmé qu’il supportait la « liberté d’expression, mais qu’elle avait des limites ». Comme si liberté et limites pouvaient se côtoyer dans la même phrase. Lire la suite