Il y a deux mois j’ai écris un texte sur le réchauffement de la planète. J’y soulignais que les êtres plus vulnérables ne survivraient pas à l’intense chaleur, mais que les humains et animaux les plus forts s’acclimateraient à un climat plus torride comme cela s’est produit dans le passé.
Tous les effets collatéraux qui ont commencé à se faire sentir ces derniers mois n’avaient pas trouvé place dans ma réflexion d’alors. La planète Terre crie sa douleur et manifeste ses humeurs colériques au détriment de la race humaine.
Nos forêts sèches s’enflamment sous la décharge électrique de la foudre comme la colère du ciel. Ce sont d’innombrables hectares de cette merveilleuse nature qui sont consumés et dévorés par les flammes impétueuses.
Partout sur la planète, sur tous les continents, les feux ravagent les villes entières et sèment la désolation. On rapporte des chaleurs de 55 degrés Celsius à plusieurs endroits comme en Inde, en Algérie et en Grèce. Lire la suite