Le « secteur privé » veut mettre la main sur Hydro-Québec.

Mis en avant

Je suis né en 1941. Au Québec, on commençait à chuchoter dans les coulisses des propos concernant la nationalisation de l’électricité. Déjà, on pouvait y compter 11 grandes entreprises privées, appartenant à des magnas anglophones de Toronto et des États-Unis qui se partageaient le marché de l’électricité au Québec.

Elles ne desservaient que les territoires aisés et profitables. De telle sorte que de grands pans agricoles s’y voyaient exclus. Seules les chandelles et les lampes à pétrole y faisaient office d’éclairage. Les foyers aux longues cheminées et les poêles en acier, où s’entassaient des bûches de bois, réchauffaient les bâtiments durant les hivers rigoureux.

 Ces 11 compagnies se nommaient la Shawinigan Water and Power, la Québec Power, la Southern Canada Power, la Saint-Maurice Power, la Gatineau Power, la Compagnie de pouvoir du Bas-Saint-Laurent, la Compagnie électrique du Saguenay, la Northern Québec Power, la Compagnie électrique de Mont-Laurier, la Compagnie électrique de Ferme-Neuve et la Compagnie de pouvoir de La Sarre.

Ce sont là des compagnies dont le service est inégal, dont les tarifs peuvent être exorbitants, qui innovent peu et, surtout, des compagnies à l’intérieur desquelles peu de Canadiens français accèdent à des emplois.

Pourtant, durant ces années, les petites centrales de Manicouagan, Bersimis et des Outardes prennent forme. Hydro-Québec n’est responsable que de 32,4 % de la production de l’électricité dans la province.

20 ans plus tard, au début des années 60, le gouvernement Libéral de Jean Lesage remporta les élections sous le thème : « MAÎTRES CHEZ NOUS ». Lire la suite

DIEU existe-t-il ?

Mis en avant

Je viens de finir la lecture d’un livre corpulent et documenté de 578 pages dont le titre est : DIEU, LA SCIENCE ET LES PREUVES.  N’ayez aucune crainte, je ne vous livrerai pas tous les détails que ce livre expose. Mais je pense que de vous confier quelques grandes lignes faciles, je répète « faciles », que des philosophes, des scientifiques, des matérialistes et des religieux ont élaboré sur l’existence de Dieu, ces infos générales vous amèneront à réfléchir sur vos questions existentielles et à trouver un point d’ancrage personnel.

Bien sûr, comme vous, je suis né dans un bain de catholicisme. Comme vous, j’ai cru à cette histoire de la bible où Dieu a créé le monde en sept jours et a donné vie à nos ancêtres Adam et Ève. Comme vous, j’ai cru à ce Dieu, bien assis sur son trône, qui nous enseignait le « bien » et nous mettait en garde contre le « mal » dont l’instigateur se métamorphosait en Satan, lui qui attisait le feu de l’enfer.

Comme des millions de catholiques, à l’âge adulte, j’ai cessé cette pratique religieuse. Contrairement à plusieurs qui ont abandonné sèchement toute croyance, j’ai cherché à la remplacer. Je n’ai retrouvé aucune accointance avec les autres religions. Il y a ces nuitées, bien assis dans le cockpit de mon voilier, où j’ai tant admiré la voûte céleste, le Cosmos, en me demandant comment cette féérie pouvait exister.

En fréquentant les théories de divers philosophes et scientifiques, mes recherches m’ont permis de dénicher une vision stimulante et personnelle que je vous résumerai à la fin de ce texte Lire la suite

POURQUOI ? Pourquoi les femmes  font-elles moins d’enfants ?

Mis en avant

Pourquoi ? Voilà la question qui surnage sur toutes les lèvres en ces temps-ci. Le président de la France, Emanuel Macron, vient de déclarer qu’en 2023, son pays vient de réduire de 800 000 enfants naissants. La population est pour la première fois sérieusement à la baisse.

 Il faut que les femmes donnent naissance à 2,1 enfants par année pour maintenir la population à son niveau actuel.  Même les Québécoises et les Canadiennes n’atteignent pas cet objectif.  À moins de1, 5 enfants par femme, il y a péril en la demeure.

 Que l’Italie, l’Espagne, le Portugal, la Grèce, la Hongrie, la Russie, la Chine et tant d’autres pays de l’occident voient les naissances chuter, les visions démographiques du futur en prennent pour leur rhume.

Les politiques d’allocations familiales, des congés parentaux, des mises sur pied des garderies pour permettre aux femmes de continuer leur carrière, les avantages apportés pour susciter l’immigration et les campagnes de promotions pour stimuler la vie familiale ne réussissent pas à atteindre leurs objectifs et n’arrivent pas à contrer la baisse des natalités. Lire la suite

Quand on fête les vieux à la résidence.

Mis en avant

Dans la résidence pour personnes âgées où je demeure, le premier mardi de chaque mois, on célèbre l’ANNIVERSAIRE qui arrive durant le mois pour tous les vieux qui y habitent.

Il y a bien 1 200 personnes qui vivent dans nos deux édifices. Mathématiquement, chaque mois, il y a bien une centaine de résidents qui reçoivent une belle fleur de circonstance.  Ajoutons la présence des amis, l’assistance peut atteindre facilement 300 JOYEUX LURONS.

La directrice commence par nommer ceux qui ont atteint plus de 90 ans. Ils sont nombreux. Surtout quand la liste débute avec les noms de ceux qui célèbrent 99, 98, 97 ans et ainsi de suite.

Je me souviens que nous avons fêté des centenaires actifs. Eh, oui ! Actifs et enthousiastes! Heureux d’être entourés et cajolés par autant de gens.

On m’a raconté que la moyenne d’âge des résidents qui partagent notre habitation est de 83 ans. Avec mes 82 ans, je me situe au cœur de la moyenne. Ceci signifie qu’une moitié des résidents a plus de 83 ans et que l’autre moitié constitue les plus jeunes du groupe. Il me semble qu’ils ont tous plus de 70 ans. Lire la suite

L’ANXIÉTÉ : la maladie du siècle.

Mis en avant

Les jeunes comme les vieux sont victimes de la maladie du siècle, soit l’ANXIÉTÉ. En fait, même les adultes en sont aussi les victimes. Mais, qu’est-il arrivé pour qu’une large partie de la population ingère ces pilules pour lutter contre ce sentiment de nervosité, d’inquiétude ou de malaise. On peut décrire l’anxiété comme une forme de souffrance ou un dysfonctionnement spécifiquement liés à l’ANGOISSE, au STRESS, à la PEUR et qui altère la performance.

Les statistiques démontrent que 15 % de la population en est atteinte. La réalité est certes différente, car on est face à une consommation de pilules tellement astronomique pour les troubles anxieux que le nombre de consommateurs amplifie cette statistique.

Que les médecins prescrivent les médicaments reliés à l’anxiété aux jeunes du niveau primaire du système éducatif, nous sommes devant un phénomène nouveau qui ne trouve pas une explication plausible. Quoique pas si nouveau.

Est-ce la pratique des jeux vidéo qui invitent les jeunes à la sédentarisation plutôt qu’à la pratique des jeux et du sport extérieur et qui est à la source de ce trouble mental ? La CONCENTRATION et les troubles de la MÉMOIRE en décrivent bien les conséquences. Mais, il y a aussi la PEUR et les STRESS.

L’anxiété provoque-t-elle l’indiscipline qui fait son apparition dans les classes et qui donne bien du fil à retordre aux enseignants ? Peut-on expliquer les problèmes qui assaillent le sommeil de nos jeunes par la pratique tardive des jeux vidéo et s’ajoutent à l’apparition du trouble de l’anxiété ? Lire la suite

La méditation et les rites sacrés à travers le monde.

Mis en avant

Le Sacré et la Méditation existent toujours dans presque tous les pays de la planète. Il y deux semaines j’ai assisté à la présentation « HORS SÉRIE » des Grands Explorateurs sur les CHEMINS DU SACRÉ.

Sur une période de deux ans, avec une caméra haut de gamme, CLAIRE BARRAU, assistée par le populaire philosophe FRÉDÉRIC LENOIR, a exploré tous les continents pour découvrir et s’incruster dans les rites, les religions et la spiritualité des peuples.

 « Il y a plus de 100 000 ans, raconte-t-elle, que l’homme a pris connaissance de sa finitude et a commencé à s’interroger sur la vie après la mort et l’existence de l’au-delà ».

L’autrice a découvert des lieux sacrés et des témoins charismatiques.  Elle en a trouvé aux États-Unis, au Canada, au Guatemala, au Pérou, au Népal, au Japon, en Australie, en Europe, en Éthiopie, en Turquie et, j’en passe, des plus exotiques encore. Lire la suite

Les tatouages et les barbes : voilà la grande mode !

Mis en avant

Dans ma trentaine, soit des années au-delà de 1970, j’ai porté la barbe-collier même si ce n’était pas la grande mode. Cependant, la mode très en vogue à ce moment-là consistait en une chevelure longue, des barbes-colliers importantes sans moustache, les pantalons aux couleurs vives et les souliers aux couleurs assorties.

J’ai succombé à ces modes. Les cheveux longs, mais bien coupés, ont orné ma tête. En sus, autour de mon cou, un collier unique aux pierres malachites vertes,  retenant un médaillon à l’effigie des dessins précolombiens de l’Amérique du Sud, rapporté lors d’un voyage, ne manquait pas d’éclat. Je me souviens de mon pantalon vert forêt et de mes souliers de la même couleur.

Bien sûr, la mode était généralisée comme toujours, car tout le monde embarquait.  Elle était voyante ! Mais je réussissais à me distinguer élégamment malgré tout. Elle ne durait à peine quelques années. Deux ou trois ans.  Pour être remplacée par une autre. Lire la suite

Noël est devenu commercial, mais les cantiques coulent toujours dans nos veines.

Mis en avant

À 82 ans, j’arrive d’un concert où plusieurs belles voix de chanteurs d’opéra nous ont interprété les cantiques et chants de Noël.  Nous étions bien une centaine de vieux dans ce salon au bord du fleuve à nous joindre à eux pour écouter et chanter.  Quelle chorale improvisée nous étions ! J’ai souvenance que nous chantions ces airs de Noël quand nous étions petits.

 Voilà que quatre-vingts ans plus tard, nos cœurs se sont emplis de nostalgie en les interprétant encore avec les mêmes mots et les mêmes intonations. Mes cordes vocales ont commencé à me jouer de vilains tours sur la justesse des notes, mais ça ne paraissait pas au milieu de ce chœur improvisé.

Quand je vivais mon enfance, je m’étais immiscé dans la chorale. À l’époque, toutes les écoles avaient une chorale. Nous exécutions une pléiade de chants à l’église le dimanche, mais nous avions surtout le privilège de nous exécuter devant les grandes orgues à la messe de minuit à Noël.

Nos voix ont entonné ces cantiques et ces chants qui ont enveloppé nos jeunes cœurs. Il fallait honorer ce personnage, Jésus, dont la vie et ses enseignements ont guidé tant de générations à vivre en amour et en respect. Lire la suite

Les tatouages et les barbes : la grande mode !

Mis en avant


Dans ma trentaine, soit des années au-delà de 1970, j’ai porté la barbe-collier même si ce n’était pas la grande mode. Cependant, la mode très en vogue à ce moment-là consistait en une chevelure longue, des barbes-colliers importantes, les pantalons aux couleurs vives et les souliers aux couleurs assorties.

J’ai succombé à ces modes. Les cheveux longs, mais bien coupés, ont orné ma tête. En sus, autour de mon cou, un collier unique aux pierres malachites vertes,  retenant un médaillon à l’effigie des dessins précolombiens de l’Amérique du Sud, rapporté lors d’un voyage, ne manquait pas d’éclat. Je me souviens de mon pantalon vert forêt et de mes souliers de la même couleur.

Bien sûr, la mode était généralisée comme toujours, car tout le monde embarquait.  Elle était voyante ! Mais je réussissais à me distinguer. Elle ne durait à peine quelques années. Deux ou trois ans.  Pour être remplacée par une autre. Lire la suite

La contrebande menace les Inuits et les Autochtones.

Mis en avant

L’émission J.E. soit le journalisme d’enquête de TVA a consacré une émission au fait que des contrebandiers d’alcool et de cannabis empochaient 10 000 dollars par semaine à Nunavut. Imaginez qu’une bouteille de Vodka qui se vend 16 $ sur les étagères de la SAQ sera revendue 150 $ dans le Grand Nord, soit dix fois plus cher.  43 000 bouteilles d’alcool rapporteront aux fraudeurs 8 millions de dollars.

Malgré des amendes entre 1 000 $ et 24 000 $, ces contrebandiers font beaucoup d’argent tout en détruisant tout un peuple.

Mais, on ne peut dissocier la criminalité et la contrebande.

74 % des crimes sont directement reliés à l’alcool et au cannabis.  La violence conjugale et les agressions sexuelles qui sont endémiques chez les Autochtones et les Inuits y sont reliées intimement.

74 % des femmes inuit rapportent avoir été victimes de violence â la maison. Lire la suite

Attendons-nous de perdre tous nos médias !

Mis en avant

J’ai aujourd’hui 82 ans. Elle est loin derrière moi cette longue carrière que j’ai passée à œuvrer au sein de la Presse régionale. En plus d’avoir fondé des Hebdos régionaux avec succès, j’ai présidé à la naissance d’une association qui en a défendu les intérêts.

Nul n’ait besoin de vous souligner combien j’ai témoigné un coup de cœur continuel face à l’évolution de ces journaux qui me sont familiers et des médias en général depuis ma retraite qui n’en finit plus.

J’ai vu naître avec beaucoup de suspicion les structures médiatiques numérisées.  Que ce soit les Google et Facebook de ce monde, que ce soient les stations locales câblées, j’y ai vu de nouveaux joueurs affamés à se nourrir dans la tarte publicitaire disponible.

En ajoutant la période de la pandémie de la Covid 19 où les budgets publicitaires ont fondu allégrement, il était prévisible que plusieurs médias connaîtraient les affres de l’affaissement des revenus publicitaires essentiels qui ont été, pendant si longtemps, synonymes d’une santé assurée. Lire la suite

L’immigration peut-elle être positive ?

Mis en avant

Je me souviens. En fait, je ne me souviens pas d’avoir côtoyé des immigrants durant mon enfance. Soit de 1950 à 1967.  Expo 67, grâce à ses cinquante millions de visiteurs, a permis la rencontre des citoyens d’une centaine de cultures avec les Québécois et les Canadiens. À petites doses, en découvrant le Québec, ce fut le commencement, de l’arrivée d’immigrants, qui, en général, s’intégrèrent à notre pays.

Simultanément, nous nous sommes initiés aux voyages à la découverte d’autres pays dont nous avons été inspirés lors de l’Exposition de 1967.

Dix ans plus tard, les Jeux olympiques, bien réussis et tenus à Montréal, ont augmenté notre visibilité au monde entier. Ces jeux ont donné une effervescence à nos sports et contribué à la naissance d’athlètes qui ont connu plusieurs reconnaissances mondiales. Quel coup de marketing pour notre lopin de terre.

Nous avons accueilli généreusement les migrants lors des réfugiés venant du Vietnam. On se rappelle sûrement l’épisode des « boats people ». Pourtant, apportant leurs cultures, nous avons peu ressenti leur présence à cause de leur intégration réussie. Lire la suite

Pourquoi la religion fout-elle le camp ?

Mis en avant

Je me souviens dans mon jeune âge avoir été éduqué dans la religion catholique comme tous mes concitoyens. Comme vous, peut-être, qui me lisez. Ma mère avait souhaité me voir devenir prêtre pour sauver son âme, me disait-elle.  C’est dans la vingtaine que j’ai senti refroidir cette allégeance religieuse, comme bien de mes compatriotes. Vers 1960. Le clergé et l’Église catholique perdirent leur dominance sur la société québécoise, et les églises commencèrent à se vider. Qu’est-il survenu au Québec ? Je n’étais certainement pas un cas exceptionnel.

La publication de Statistiques Canada indique que 80% des répondants québécois mentionnent qu’ils sont catholiques. Ce qui semble contradictoire à moins que ces derniers veuillent souligner qu’ils sont catholiques mais…non pratiquants. Ce qui explique la désertion des églises et des rituels de cette religion.

Dans la case athée de cette publication gouvernementale, l’augmentation est évidente mais faible. Quand j’interroge les athées que je connais sur les valeurs qui les concernent, ils font mention de l’amour des autres et le respect des humains. En somme, les valeurs catholiques continuent de couler dans leurs veines. Seul Dieu est absent de leur vie ainsi que toutes références à une Église et ses règles. Lire la suite

« SMALL IS BEAUTIFUL », un livre de 1973, toujours pertinent.

Mis en avant

E.F.Schumacher, était le PDG d’une association de charbonneries en Angleterre. Il a vécu parmi le pouvoir et les riches, les exploiteurs des richesses naturelles.  En 1973, il y a 50 ans, il a écrit un livre qui a connu un tel succès de librairie qu’il fut traduit en 100 langues. Le titre de ce magnifique livre : SMALL IS BEAUTIFUL.  Il pourrait être réédité aujourd’hui qu’il serait toujours d’actualité.

Il recommande aux leaders d’entreprises « de faire les choses à l’échelle humaine. » Il ajoute « qu’il y a de la sagesse dans la petitesse »  Les opérations d’entreprises à petite échelle sont toujours moins nuisibles à l’environnement que les opérations à grande échelle.

On comprendra qu’il y fustige la mondialisation des entreprises et l’exploitation des ressources qui gagnaient du galon à son époque et qui en gagnent encore plus aujourd’hui. 

Le profit est devenu à tort l’ultime barème économique pour l’expansion des entreprises. Dans la réalité, une entreprise n’existe pas pour enrichir les spéculateurs, mais pour le bien-être des êtres humains. Lire la suite

Mettre les parents en prison ! Qu’en pensez-vous ?

Mis en avant

J’ai déjà écrit un texte dans le passé proposant de rebaptiser le ministère de l’Éducation par le ministère de l’Enseignement et de laisser l’éducation des enfants aux parents. On en demande trop aux professeurs qui doivent enseigner une matière, que dis-je, plusieurs matières et pas assez aux parents.

J’ai aussi écrit un texte dans le passé sur l’indiscipline des jeunes dans les classes de l’école. Du manque de respect à l’égard de l’enseignant. Ils sont nombreux à les invectiver, à les frapper, à briser le mobilier. Ce comportement commence même à la maternelle.

Les professeurs aux prises avec ces situations désolantes privent les enfants disponibles de profiter du cursus scolaire normal, celui d’acquérir un savoir indispensable.

Les parents qui dénigrent les professeurs et l’autorité éducationnelle ne permettent pas aux enfants de respecter ceux qui leur enseignent.

Lire la suite

Est-ce la présomption d’une guerre mondiale ?

Mis en avant

Habituellement, je livre mes réflexions sur des sujets actuels, mais j’évite l’actualité. Je fais exception pour ce texte, car l’actualité apporte des éléments qui peuvent influer le proche futur qui nous concerne.

Les Juifs d’Israël et les Musulmans de la Palestine sont à couteaux tirés depuis au-delà de 75 ans. L’actualité bouleversante si récente raconte un affrontement où la haine pave la route à des atrocités inhumaines.

Dois-je d’abord noircir cette page en vous écrivant que je déteste le premier ministre de l’état d’Israël, Benjamin Netanyahou ?  Depuis la douzaine d’années qu’il dirige les destinées de ce pays, il n’a posé que de malheureux gestes qui ont molesté toutes les tentatives d’ériger la paix avec ses voisins. Lire la suite

Est-ce la présomption d’une guerre mondiale ?

Habituellement, je livre mes réflexions sur des sujets actuels, mais j’évite l’actualité. Je fais exception pour ce texte, car l’actualité apporte des éléments qui peuvent influer le proche futur qui nous concerne.

Les Juifs d’Israël et les Musulmans de la Palestine sont à couteaux tirés depuis au-delà de 75 ans. L’actualité bouleversante si récente raconte un affrontement où la haine pave la route à des atrocités inhumaines.

Dois-je d’abord noircir cette page en vous écrivant que je déteste le premier ministre de l’état d’Israël, Benjamin Netanyahou ?  Depuis la douzaine d’années qu’il dirige les destinées de ce pays, il n’a posé que de malheureux gestes qui ont molesté toutes les tentatives d’ériger la paix avec ses voisins. Lire la suite

Je demeure favorable au 3ième lien.

Mis en avant

J’ai déjà écrit un texte favorable au 3ième lien lorsque le premier ministre François Legault a annoncé ce projet la première fois, malgré les protestations qui entouraient cette annonce.

Selon moi, ce n’est pas un projet de la Ville de Québec, mais le projet pour tout le territoire de l’Est du Québec. Que ce soit un pont ou un tunnel, c’est une large région du Québec qui en profiterait.

J’ai même affirmé que cette idée était l’œuvre d’un visionnaire. Il ne s’agit pas de répondre à un besoin actuel, mais à une nécessité dans une dizaine et même une vingtaine d’années.  Les villes de Québec et de Lévis, à elles seules, vont connaître assurément une expansion démographique importante sans compter toute l’agglomération tout autour d’elles. Lire la suite

Je suis un touriste, mais j’en crains les effets négatifs.

Mis en avant

Je suis un touriste avéré. Il y a longtemps que je visite les divers racoins de la planète. J’y ai découvert des cultures, des richesses ancestrales, monumentales et architecturales exotiques, uniques et rencontré des humains si différents de nous dans leurs coutumes et leurs philosophies

Voyager est une expérience magnifique.  Il m’a permet de découvrir le monde, de vivre de nouvelles aventures et de goûter à différents types de nourriture. Mais, malheureusement, ce que j’ai vu c’est que si les gens ne voyagent pas en préservant les sites si populaires, le tourisme peut avoir de nombreux effets négatifs sur une et plusieurs régions données.

Le tourisme a le pouvoir de soulager les communautés de la pauvreté en apportant de la richesse par leurs dépenses, mais en même temps, il peut détruire l’identité de ces peuples accueillants.

Avant d’apprendre à voyager de manière durable, nous devons comprendre quels dommages exactement nous pouvons causer lorsque nous partons en vacances. Lire la suite

La planète crie sa mauvaise humeur.

Il y a deux mois j’ai écris un texte sur le réchauffement de la planète. J’y soulignais que les êtres plus vulnérables ne survivraient pas à l’intense chaleur, mais que les humains et animaux les plus forts s’acclimateraient  à un climat plus torride comme cela s’est produit dans le passé.

Tous les effets collatéraux qui ont commencé à se faire sentir ces derniers mois n’avaient pas trouvé place dans ma réflexion d’alors.  La planète Terre crie sa douleur et manifeste ses humeurs colériques au détriment de la race humaine.

Nos forêts sèches s’enflamment sous la décharge électrique de la foudre comme la colère du ciel. Ce sont d’innombrables hectares de cette merveilleuse nature qui sont consumés et dévorés par les flammes impétueuses.

Partout sur la planète, sur tous les continents, les feux ravagent les villes entières et sèment la désolation. On rapporte des chaleurs de 55 degrés Celsius à plusieurs endroits comme en Inde, en Algérie et en Grèce. Lire la suite

Aurons-nous d’autres « annus horribilis » ?

J’ai déjà écris un texte sur le réchauffement climatique qui adviendra après 2050.  Bien sûr que le climat va se réchauffer et ne survivront que les humains les plus forts. J’avais tout faux.

Je n’avais pas anticipé le dérèglement climatique et encore moins qu’il surviendrait dès maintenant.  Nous vivons déjà une année cauchemaresque, une « annus horribilis » comme disait la reine Élisabeth, et je ne crois pas que ce soit un événement passager, que nous ne reviendrons pas à la normale l’an prochain.

Si nos forêts continuent à s’embraser comme cette année, il viendra un temps où il n’y aura plus de végétation arboricole. Finie l’industrie forestière, finis les milliers d’emplois, fini le territoire ombragé de notre faune. Il ne restera qu’un immense champ de ruines calcinées. Et le smog qui envahit nos cités mettant en périls les asthmatiques comme moi. J’espère avoir encore tout faux. Lire la suite

Les vieux doivent transmettre les grandes valeurs.

N’est-ce pas aux adultes, surtout aux vieux, de transmettre les grandes valeurs inspirées de la longue Histoire millénaire de la planète aux générations qui suivent ?

Dans les faits, quelles sont ces valeurs qui motivent les adultes, qu’ils ont apprises de leurs parents  et qu’ils lèguent, semble-t-il, à leurs enfants ?

Pourvu que les valeurs continuent d’exister au-delà ! N’est-il pas un devoir pour les vieux de ma génération de refiler tout ce que la vie leur a appris?  Encore faut-il que les générations qui suivent les écoutent. 

Les grandes valeurs sublimes et la morale ont toujours été un facteur identitaire pour les peuples et les civilisations.  Les principes de vie qui ont animé et qui animent encore les êtres humains peuvent être moraux, sociaux, éthiques ou philosophiques selon les groupes homogènes auxquels ils appartiennent. 

L’appartenance à une religion, à une nation ou à une philosophie, justifie le choix des valeurs qui nourrissent toute une vie.  Au Québec, les politiciens ont clamé bien haut que la laïcité, la langue française et l’égalité entre hommes et femmes sont des valeurs non négociables.  Mais les vraies valeurs ne s’arrêtent pas aux choix politiques.  Lire la suite

La liberté d’expression versus la censure.

De l’information, ça fourmille à la tonne. Il en pleut à profusion. Ça foisonne comme ce n’est pas possible. On se demande à quel saint se vouer. On appelle ça la liberté d’expression. On a tous une opinion à exprimer. Il y en a même qui en font un métier à exprimer leurs opinions. Il y a bien les médias qui servent d’outil, mais on ajoute à cela les réseaux sociaux. N’y a-t-il pas un lieu plus propice qu’un repas autour d’une table pour amorcer des débats ?

Les universités convient tous les tenants de la liberté de parole même si c’est là que des manifestations l’ont mis en péril. Il n’y a certes pas mieux que les livres où la façon de penser de bien des intellectuels s’y livre avec abondance.

La liberté d’expression est un droit fondamental consacré à l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme.

Bien sûr, on est probablement le pays au monde où la liberté d’expression domine et s’exerce. Il suffit de porter attention à l’actualité dans de multiples pays pour s’en convaincre. Surtout ces pays où règnent les dictateurs et les religieux. Lire la suite

Pourquoi j’écris ce blogue !


Depuis 2012, soit 11 ans, j’écris ce blogue, soit un texte de 1000 mots chaque semaine. Tout un bail ! Le 17 septembre 2023, je fêterai mes 82 ans. Je vous avoue que d’écrire ce texte et d’exprimer autant de réflexions à un tel rythme exige une gymnastique constante pour ce cerveau qui ne veut pas vieillir.

Ils ne sont pas nombreux ces vieux qui utilise une tribune comme celle-ci pour décrire une société à travers une lorgnette colorée par un vécu et par des observations que seule une si longue vie sait en brosser un tableau.

Jeannette Bertrand, qui deviendra peut-être bientôt une centenaire, continue à propager des idées qui ont contribué à sa notoriété.  Elle continue à semer son influence. Un jour, en 2012, elle s’est dite désolée que si peu de vieux prennent la parole et harnachent les tribunes pour diffuser ce savoir qui ne peut qu’enrichir le débat public.

Une diatribe qui n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd, soit la mienne.  J’ai cherché des tribunes où un vieux peut émettre des opinions et non pas raconter des anecdotes folkloriques. Lire la suite

Pourquoi pas le Festival des hommes Blancs hétéros ?

Il y en a que pour la diversité par les temps qui courent. Le Canada sans oublier le Québec est un pays accueillant, tolérant et ouvert. L’actualité prodigue une démonstration ostentatoire de cet état de fait.

Les groupes qui s’inspirent de l’acronyme LGBTQ+ font la manchette en cette période. Le festival  de la Fierté qui démontre la présence des homosexuels et lesbiennes sous l’appellation anglaise de Gay bat son plein comme jamais cette année. Les médias leur accordent une place prépondérante, disons même outrancière. On y célèbre la différence sexuelle hors norme. Il y a tant de pays qui les exècrent  au point de les exécuter.

La grande fête inclut ceux qui pratiquent leurs ébats sexuels avec les deux sexes également. Comme si cela avait une importance au point de les médiatiser.

Viennent s’ajouter les Trans, soit ceux et celles qui sont insatisfaits du sexe dans lequel ils sont nés et qui souhaitent qu’on les reconnaisse comme appartenant  à l’autre sexe. Ils sont peu nombreux, mais souhaitent se joindre publiquement à la Fierté. Lire la suite

Les vieux sont-ils tous des sages que nous voulons honorer ?

Quand j’étais plus jeune, les vieux (disons au-dessus de 75 ans), me paraissaient comme des sages. On devenait sage en vieillissant, soit en atteignant l’âge de la sérénité et en portant la légendaire barbe blanche. Maintenant que je suis octogénaire, je ne partage plus cette impression. Le vieil homme à la barbe blanche est beaucoup plus un mythe que la réalité qui m’entoure.

Je souhaitais écouter les réflexions bien pensées acquises par l’expérience inspirante d’une longue vie idéale. Dans les faits, je souhaitais prétentieusement vieillir harmonieusement et devenir moi-même ce sage vertueux. Il est vrai que j’apprécie ces moments où je réfléchis, où je pénètre en dedans de moi-même pour trouver des réponses à de multiples questions existentielles. Je peux persévérer des heures dans cet état mystique et inspiré loin du brouhaha de la vie qui m’entoure.

Le retour à la vie trépidante me réintègre dans ma personnalité courante et sociale. On ne change pas en vieillissant. On continue cette longue vie avec ses travers et ses qualités. On continue à manifester nos ressentiments, nos désirs, nos besoins, nos bêtises et nos bonnes actions. Lire la suite

La liberté d’expression et la censure.

De l’information, ça fourmille à la tonne. Il en pleut à profusion. Ça foisonne comme ce n’est pas possible. On se demande à quel saint se vouer. On appelle ça la liberté d’expression. On a tous une opinion à exprimer. Il y en a même qui en font un métier à exprimer leurs opinions. Il y a bien les médias qui servent d’outil, mais on ajoute à cela les réseaux sociaux. N’y a-t-il pas un lieu plus propice qu’un repas autour d’une table pour amorcer des débats. Les universités convient à tous les tenants de la liberté de parole même si c’est là que des manifestations l’ont mis en péril. Il n’y a certes pas mieux que les livres où la façon de penser de bien des intellectuels s’y livre avec abondance.

La liberté d’expression est un droit fondamental consacré à l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme. Lire la suite

Les Résidences pour personnes âgées (RPA) sont-elles des ghettos qui éloignent les vieux de la vraie vie ?

J’entendais l’autre jour, lors d’un documentaire à la télévision, un supposé spécialiste raconter que « les vieux avaient avantage à garder leurs racines dans le quartier qu’ils connaissent et avec les gens qu’ils fréquentent depuis longtemps».

« Il ajoutait que les vieux devraient se tenir loin des ces Résidences qui les déracinent et les confinent avec encore des vieux ».

Les cheveux m’ont dressé sur la tête ! Je gage que ce spécialiste n’a jamais mis les pieds dans une RPA. Je ne contredis pas que les avantages soient évidents pour les vieux qui peuvent évoluer au sein de leurs familles.

Par contre, ils sont si nombreux à choisir de vivre dans une RPA. Avec ma conjointe, je me suis joint à cette cohorte, il y a un an. Sommes-nous si déconnectés de la réalité pour avoir fait ce choix ?

Ajoutons qu’il suffit de se réaliser combien les hommes et femmes d’affaires, avides de succès, investissent en ce moment dans la construction de nombreuses RPA avec l’espoir de répondre aux besoins et à la demande pour les années à venir. Lire la suite

On ne veut plus faire d’enfants !

Beaucoup de jeunes ne veulent pas engendrer des enfants. Il n’est pas question de les faire naître et vivre avec les perspectives de vie désastreuses annoncées.

La crise climatique avec sa chaleur et ses tempêtes, les feux de forêt, l’écologie, la pollution, la pauvreté, les guerres, la politique corrompue, l’inaction gouvernementale, la liberté de la génération actuelle, autant de raisons exprimées par les jeunes lors de sondages et d’études internationales et locales.

L’écoanxiété apparaît comme le désagrément de vivre chez les 16-30 ans. La santé mentale surgit comme un élément à considérer tout comme la crainte devant les défis qui nous attendent. 

Mais chose surprenante, la perte des avantages de la vie sociale comme les voyages, les restaurants et les spectacles, le confort d’une maison et des autos neuves, la poursuite d’une carrière intéressante est mentionnée pour ne pas engendrer des enfants surtout par les femmes. Lire la suite

Le CIRQUE DU SOLEIL se préoccupe de sa clientèle.

Le CIRQUE DU SOLEIL est aussi un grand de la planète grâce aussi à de petites choses qui lui permettent de grandir.  Pour en faire le panégyrique, j’ose vous raconter la petite anecdote qui va suivre. Bien sûr que je me situe au centre de cette dernière, car j’en fus avec Diane le grand bénéficiaire.

Dois-je attester qu’avec ma conjointe nous sommes de grands admirateurs du CIRQUE DU SOLEIL. Depuis Alegria, nous avons assisté à presque tous les spectacles présentés en primeur sous le chapiteau  à Montréal.  Mais, il y a un…MAIS!  Car  Diane souffre maintenant d’une dystrophie musculaire qui ne lui permet pas de marcher sur une longue distance ni de monter un escalier.

Par expérience, nous savons que pour assister à une représentation du CIRQUE DU SOLEIL, il faut marcher longuement à partir du stationnement du QUAI DE L’HORLOGE  jusqu’au site du grand chapiteau. Il faut aussi monter de nombreuses marches pour accéder à une place dans les gradins.

Voilà les conditions réunies pour mettre un terme à notre assiduité légendaire. À la condition que cette organisation du Québec puisse nous faciliter la tâche. Lire la suite