Mon plus récent texte date du 2 juillet. Je n’ai rien écrit depuis cette date parce que je suis victime de la page blanche, c’est-à-dire que je ne trouve aucun sujet à discourir.
Je sais que l’actualité est remplie d’occasions et d’événements que tous les blogueurs s’empressent de commenter à profusion. Je n’aime pas emprunter cette voie. Je touche à l’actualité quand il me semble qu’on a négligé un aspect et qu’il peut susciter un intérêt pour les vieux. Mais voilà que cette situation ne s’est présenté et mon cerveau n’y a trouvé aucun aspect qui puisse l’intéresser.
Le voilà le fameux syndrome de la page blanche. Il m’électrocute maintenant. Depuis que j’entretiens ce blogue, j’ai écris 251 textes sur une base hebdomadaire ou demi-hebdomadaire. Je suis fier de ce que j’ai écrit même si certains textes m’ont paru ternes.
J’admire ceux qui pondent des opinions chaque jour ou presque. Je n’ai pas cette prétention. Un texte hebdomadaire me suffit même si cela n’est pas suffisant pour entretenir un lectorat élevé. Malgré cette fréquence que je qualifie de normale en ce qui me concerne. C’est pourquoi je m’éloigne autant que je peux de commenter seulement l’actualité à chaud.
Je souhaite traiter de sujets qui peuvent intéresser les vieux. Que soit l’actualité ou des sujets de fond. Ce sont ces sujets qui ne se sont pas présentés à ma mémoire. À mon âge, la mémoire est souvent défaillante.
D’ici quelques jours, un jour ou deux ou trois, je vais défier la page blanche et reprendre ma production normale soit hebdomadaire. Je tiens à remercier les lecteurs qui me seront restés fidèles. Sinon vous pourrez claironner mon retour.
Claude Bérubé.