Comme je suis un retraité depuis plusieurs années, la télévision occupe les nombreux temps morts de la journée, surtout de la soirée. Il suffit de regarder les émissions de télévision pour avoir sa dose d’énervement. Un simple jeûne de quelques jours du petit écran, pardon ! maintenant, on doit dire du grand écran, pour s’apercevoir combien sa production flirte avec nos nerfs.
Je m’empresse de le démontrer au fil des lignes qui suivent. Deux aspects du visionnement de sa programmation me suffiront à prouver que mes observations sont justes et appropriées. D’une part, la vitesse si rapide des coupures des images ne peut qu’énerver l’auditoire. D’autre part, la présentation continuelle des mauvaises nouvelles et la nature de bien des émissions suffisent à engendrer un stress continuel et une anxiété quotidienne.
Tout ça pour chatouiller le petit nerf vulnérable. Lire la suite