« Je me souviens » est une curieuse de devise pour le Québec alors que l’histoire prend le bord. Pour moi, le « je me souviens » devient un leitmotiv à mes 75 ans si ce n’est de me souvenir de ma propre histoire et celle de ma langue. La vitalité de cette langue est le fruit de longs et durs débats.
Je me souviens que, dans les années 50 et 60, les Canadiens français, au travail, devaient parler anglais entre eux quand les patrons étaient anglophones et unilingues. Lire la suite