Les gérants d’estrade : « On aurait dû faire « çi » ou « ça ».

Le premier ministre François Legault a conquis l’enthousiasme des citoyens lors de son élection à la tête du jeune parti politique soit la Coalition Avenir Québec pour sa ténacité lors de l’adoption de la loi 21 sur la laïcité, la réforme scolaire, les Maisons des aînées, une nouvelle structure économique, etc., et par sa prise en charge à l’improviste de la plus grande pandémie et son virus, la Covid 19.

À peine au pouvoir,  il a toujours plusieurs projets d’importance sur sa table de travail, qu’il a dû mettre  de côté pour se consacrer à temps plein à l’affrontement d’une tempête planétaire dont il ignorait l’ABC.

Un homme imposant et une allure paternaliste qui inspirent le respect. Loin d’être un grand orateur, il a l’art, avec des mots simples, d’être écouté et convaincant. Pas de fla-flas. Il aborde droit au but les sujets les plus délicats. On reconnaît là son passé d’homme d’affaires.

Tout un peuple était et est toujours à l’écoute de son chef, à 13 heures, à la grande messe virtuelle presque quotidienne, sur tous les grands réseaux de télévision.

C’est comme ça que je nomme l’importante conférence presse qui réunit les  journalistes et les citoyens devant leur écran où il est entouré de son directeur de la Santé le docteur Arruda et de son ministre de la santé le ministre Dubé qui a succédé à la ministre McCann.

Après s’être entouré à la sauvette d’une équipe d’experts dans la santé qu’il consulte toute la journée, il prend quotidiennement les décisions de circonstances, il émet des directives avec une grande transparence.

Il suffit de se rappeler sa décision soudaine de trouver et de former en trois mois 10,000 préposés aux bénéficiaires pour soutenir les CHSLD en pleine pénurie de mains d’œuvre. Il ajouta un salaire intéressant malgré l’opposition des syndicats. On ne le croyait pas. Il a réussi.

Après plus d’une année à un rythme effréné, on sent encore son côté de père de famille qui cherche toujours à préserver les uns et les autres. Ce qui lui vaut des reproches par les gérants d’estrade qui sont aux aguets. Les opinions divergent.

On aurait dû faire « çi » ou faire « ça ».

Je nomme donc notre premier ministre « Personnalité de l’année ». Pourquoi ?  Oui, pourquoi ? Alors que les gérants d’estrade lui reprochent sa gestion de la pandémie de la Covid 19 !

Bien sûr qu’il a pris honnêtement des décisions moins efficaces et qu’il a corrigées en un temps record. La qualité d’un grand chef. Son leadership a conquis la population.

Partout dans le monde, les populations reprochent aux gouvernants leurs mauvaises gestions de la pandémie de la Covid 19. Partout dans le monde, les gérants d’estrade croient davantage les experts extérieurs qui contredisent les décisions des élus.

Pourtant les gouvernements comme celui de Legault ne font pas exception et sollicitent les avis d’experts renommés. Ces derniers, regroupés en comités, confrontent leurs idées et leurs savoirs afin qu’émerge un consensus d’experts. Consensus qui influencera les décisions  gouvernementales.

Des décisions, pourtant réfléchies, qui serviront de boucs émissaires aux gérants d’estrade, incluant quelques spécialistes scientifiques extérieurs et dissidents, qui se régaleront à satiété.

On aurait dû faire « çi » ou faire « ça ».

Quand le couvre-feu apparut à Legault comme une solution devant la fragilité  de notre organisation de santé. Le couvre-feu, qu’on associe à des mesures de guerre, n’a jamais été utilisé en occident. Comment pouvait-on affirmer que c’était une mauvaise action en écoutant les propos négatifs des gérants d’estrade ?

Selon Legault, il fallait l’essayer en dernier recours. Un sondage populaire approuvait la décision du chef à un niveau de 80%. Comme le couvre-feu est en cours, nous connaîtrons la vérité dans quelques semaines. Les indices actuels semblent être favorables au choix de notre chef.

Pour le leadership de François Legault, sa prestance durant la crise de la Covid 19, sa fidélité envers les citoyens, malgré une fatigue à peine perceptible causée par la longueur de la crise  je le choisis  comme la Personnalité de l’année.

 

 

 

 

 

 

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