On a raison d’être fier.

Mis en avant

24 juin 2024 (Fête nationale)

« Sans être parfait, le Québec est indéniablement la nation qui a déployé la plus grande volonté de construire une société juste et équitable en Amérique».

Cette phrase a été écrite ce 22 juin dans ‹ la Presse Plus › par BOUCAR DIOUF, un Sénégalais qui a vu le Québec s’épanouir. Il a vu le Québec se construire, même plus, il a mis la main à la roue pour en construire une parcelle. Il est devenu un Québécois à part entière.

Il s’est largement inspiré du livre du scientifique MARIO POLÈSE, enfant autrichien qui a choisi le Québec à la fin des années 1960. Il est donc un témoin privilégié de la métamorphose du Québec comme BOUCAR. Ce dernier a lu cet essai intitulé : ‹ LE MIRACLE QUÉBÉCOIS ›. Boucar a eu aussi un coup de foudre pour ce Québec tel que décrit dans ce bouquin.

Je m’inspire aujourd’hui largement de ce long texte de Boucar Diouf pour vous en livrer la saveur. C’est pourquoi j’ai intitulé mon texte qu’ON A RAISON D’ÊTRE FIER de ce Québec, qui est le mien et le vôtre, grâce à ces deux hommes qui s’y sont greffés et qui nous le racontent avec un regard juste, tendre et sensible quelques générations plus tard. Ce Québec dont nous célébrons la Fête nationale qui s’est inscrite dans les annales de l’Amérique du Nord.

Sur le chemin qui a sorti le Québec de la pauvreté économique et intellectuelle, Polèse identifie trois révolutions. La première révolution, dite tranquille, accélérera la marche du Québec vers la modernité dès les années 1960.

Elle y réduira rapidement le grand écart économique qui persistait entre les francophones et les anglophones depuis l’échec de la révolte des Patriotes et plus loin encore. Lire la suite

Il est impossible à un vieux de 70 ansde penser comme les jeunes de 20 ans.

Lors des manifestations bruyantes des étudiants en 2012, j’ai regardé à la télévision ce qui me semblait un grand party d’étudiants.  Des démonstrations dans la rue qui me rappelaient les grandes marches et les grands rassemblements des années 60 et 70.  En consultant leur manifeste, je relisais les Lire la suite