Nous votons les députés, pas les chefs.  

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Le 2 novembre 2025

J’ai écrit un long texte pour élaborer en détail les aléas de mon propos que ce titre veut signifier. Je le trouve trop explicatif et lourd à parcourir. Trois heures à noircir les pages blanches pour ensuite les effacer, recommencer à neuf et me retrouver encore une fois devant de nouvelles pages blanches. C’est là un défi incontournable. Un défi, que doit relever, à quelques reprises, l’auteur de ce blogue, qui est… moi. Alors, abordons encore une fois ce sujet qui m’accapare, en priant le seigneur de m’inspirer avec plus de justesse cette fois. Je me concentre une fois de plus à la recherche des mots justes qui donneront vie à l’expression de ma pensée. Les voilà !

 

Quand nous allons voter dans l’urne lors de la journée de l’élection et que nous inscrivons notre choix par un X sur le bulletin, nous désignons le candidat que nous espérons voir devenir le député de notre comté.

NOUS NE VOTONS JAMAIS POUR UN CHEF DE PARTI OU UN FUTUR PREMIER MINISTRE. Que nous aimions un chef plutôt qu’un autre, nous n’apposons pas notre X devant son nom, puisque son nom n’apparaît pas sur ce bulletin qu’on nous a présenté. Nous avons entre nos mains la liste des candidats pour notre comté, dont le nom de celui que nous espérons voir devenir NOTRE DÉPUTÉ et qui nous représentera à l’Assemblée nationale.

Il est donc important de choisir LE MEILLEUR parmi les noms qui y apparaissent. Car c’est lui, le gagnant de cette liste, qui négociera les besoins du comté, les besoins des Conseils de ville, les besoins des associations et bien souvent les besoins particuliers des citoyens, donc… nous.

Nul besoin de souligner qu’il est improductif de marquer de son X le nom d’une mauviette, d’un individu qui ne possède pas les qualités pour assumer cette tâche que je viens de décrire et dont dépend la démocratie.

NOUS SOMMES LES ÉLECTEURS. Nous sommes à la base de cette structure idéale que l’on nomme LA DÉMOCRATIE. Lire la suite

La démocratie a pris un coup de vieux.

Mis en avant

Le 5 mai 2025

La démocratie a pris un coup de vieux avec l’arrivée de Donald Trump et sa cohorte américaine d’ultra-riches, puis avec Wladimir Poutine et son oligarchie russe, ajoutons avec le président d’extrême-droite de la Hongrie Viktor Orban et sa suite de richissimes supporteurs, ainsi que du nouveau libertarien d’extrême droite Javier Milei qui gouverne dorénavant l’Argentine et sans oublier le premier ministre Israélien Benyamin Netanyahou avec l’offensive de son armée si destructive particulièrement  dans la bande de Gaza et au Liban.

Ils sont aussi nombreux ces pays d’extrême droite dominés par des dictateurs ou des monarques soit en Afrique, soit en Amérique du sud et dans les pays arabes.

Ces mégalomanes s’entourent de personnes faibles pour assurer leur pouvoir personnel et ajoutons leur enrichissement au détriment de leur peuple. Pourtant ces derniers n’ont de cesse de les porter aux pouvoir. Je pense ici au printemps arabe où la grogne populaire les a fait tomber de leurs piédestaux pour les remplacer par d’autres paranoïaques encore plus démoniaques.

Jetons un coup d’œil sur la planète en commençant par les États-Unis qui sont présidés par Donald Trump. Je pense aussi aux 400,000 Américains qui viennent d’élire avec une majorité écrasante, ce Donald Trump, qui en profite pour détruire les belles structures démocratiques que les États-Unis ont mis 3 siècles à bâtir. Je ne peux passer sous silence sa néfaste influence dominante sur la scène internationale. Lire la suite

Les proportionnelles : lettre à Jean-Pierre Charbonneau.

Cher monsieur.

Puisque vous êtes un des principaux promoteurs d’une élection à la proportionnelle mixte compensatoire, je vous adresse cette missive. Je me suis laissé convaincre par votre texte dans la Presse de décembre 2016. (Que je jojns, cliquez ICI.) J’ai aussi plongé dans la lecture de textes appropriés comme le texte d’Alec Castonguay dans l’Actualité et le dossier très élaboré du Mouvement Démocratie nouvelle qui en fait une étude sérieuse et la promotion. Sans oublier quelques professeurs universitaires comme Louis Massicotte.

Après discussion avec des amis, je me suis rendu compte que peu de gens en parlent et en savent suffisamment. La transparence et le débat populaire ne sont pas à l’agenda.  Pourtant, ce sera la plus grande décision politique à réaliser à brève échéance. Lire la suite

LES ÉLECTIONS SANS OPPOSANTS, ENNEMIES DE LA DÉMOCRATIE

 Les élections par acclamation se profilent comme les ennemis de la démocratie. Sans opposition,  elles privent le citoyen de son droit élémentaire de voter. La démocratie dépasse largement les considérations d’un vote, mais, sans ce vote, la démocratie n’existe pas.  Sans au moins deux opposants qui offrent un choix Lire la suite