Une nouvelle civilisation de barbus.

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Le 25 septembre 2025

Durant mes 84 années passées, que de « MODES » j’ai vues et parfois adoptées ! Chaque décennie innove. Chaque décennie apporte ses couleurs et formes que les citoyens adoptent allégrement. « ON APPELLE CELA LA MODE », et pourquoi pas les modes. Généralement, cela ne dure que l’espace d’une décennie pour laisser la place à une nouvelle.

Les designers et couturiers créent chaque année les modes vestimentaires qui sont adoptés par les vedettes qui deviennent les influenceurs auxquels se ligue la panoplie de consommateurs. Je me souviens des jambes de pantalons, portés par tous, qui s’élargissaient à la base et qu’on avait baptisées la « mode éléphant ».  Je me souviens de ces souliers verts qui s’adaptaient aux pantalons verts pour les hommes, et que dire des femmes dont les robes s’allongeaient et se réduisaient aux humeurs des couturiers.

Les mêmes couleurs et tissus habillaient toute une civilisation. Les femmes ont porté des talons hauts et aiguilles à la mode pour ensuite adopter les bottes. Les multiples couleurs de cheveux et de lèvres devinrent des normes de beauté. Les hommes ont adopté les cheveux longs pendant quelques années, puis les cheveux courts, sans oublier les colliers-bijoux les plus hétéroclites autour du cou.

En fait, la mode changeante a costumé des nations entières pour une période dans le temps au grand plaisir des entreprises vestimentaires et de produits cosmétiques qui ont engrangé et engrangent encore aujourd’hui des profits mirobolants. Lire la suite

Les tatouages et les barbes : voilà la grande mode !

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Dans ma trentaine, soit des années au-delà de 1970, j’ai porté la barbe-collier même si ce n’était pas la grande mode. Cependant, la mode très en vogue à ce moment-là consistait en une chevelure longue, des barbes-colliers importantes sans moustache, les pantalons aux couleurs vives et les souliers aux couleurs assorties.

J’ai succombé à ces modes. Les cheveux longs, mais bien coupés, ont orné ma tête. En sus, autour de mon cou, un collier unique aux pierres malachites vertes,  retenant un médaillon à l’effigie des dessins précolombiens de l’Amérique du Sud, rapporté lors d’un voyage, ne manquait pas d’éclat. Je me souviens de mon pantalon vert forêt et de mes souliers de la même couleur.

Bien sûr, la mode était généralisée comme toujours, car tout le monde embarquait.  Elle était voyante ! Mais je réussissais à me distinguer élégamment malgré tout. Elle ne durait à peine quelques années. Deux ou trois ans.  Pour être remplacée par une autre. Lire la suite