22 décembre 2025.
Je considère que la SURPOPULATION de la planète sera LE PIRE FLÉAU DU FUTUR. Je vous livre pour commencer mon propos une grande quantité de statistiques sur le sujet dans les prochaines lignes. Par la suite, je vous livrerai mes commentaires basés sur l’information concernant l’évolution effarante d’êtres humains qui habiteront le globe terrestre.
EN 2019, il y a 6 ans, alors que la population sur la planète atteignait déjà les 7,6 MILLIARDS D’ÊTRES humains, j’écrivais déjà dans ce blogue que la surpopulation était en voie de devenir plus dangereuse que les autres dérèglements de la nature comme le réchauffement climatique, comme la pollution et comme l’environnement sous tous ses aspects. Déjà à cette époque, j’écrivais que la surpopulation devait être sans conteste LA PLUS IMPORTANTE PRÉOCCUPATION DE L’HEURE.
À moins de 6 années plus tard, les tableaux officiels affichent qu’aujourd’hui, EN 2025, nous sommes 8,142 MILLIARDS d’êtres humains soit une augmentation D’UN DEMI MILLIARDS de plus à y vivre. Même si, contrairement, nous avons l’impression générale qu’on ne donne plus préséance aux naissances dans plusieurs pays.
Les statisticiens prédisent que, DANS 50 ANS, soit en 2075, nous serons 10 MILLIARDS d’individus à peupler la planète et 11 MILLIARDS EN 2100. Nous ajoutons 70 MILLIONS d’êtres humains chaque année. Ce montant équivaut à deux fois la population du Canada. Et cela chaque année
Imaginez qu’en 1950, il y a peine 75 ans, nous étions seulement 2,5 MILLIARDS d’habitants à habiter le globe terrestre.
Et je le rappelle, en 2019, nous proclamions déjà que le grand débat de l’heure concernait le réchauffement climatique, la pollution et l’environnement. Il était alors si peu question de la surpopulation de la planète. En consultant les chiffres écrits un peu plus avant, nous comptons en ce moment un peu plus de 8,142 milliards d’habitants sur notre globe et on continue à préférer débattre des sujets comme le réchauffement climatique, comme la pollution et comme l’environnement qui sont toujours à l’ordre du jour. Il est constamment si peu question de la surpopulation de la planète. Imaginez ce que se sera dans 50 ans.
De nombreuses études démontent que notre production agricole actuelle sur la planète suffît à nourrir chaque habitant de la terre, évidemment s’il y avait une répartition adéquate de ces aliments. Car dans la réalité il y a une classe de privilégiés qui trouvent moyen de gaspiller leur surplus de nourriture au détriment d’une classe d’indigents affamés.
Comment arriverons-nous à nourrir tous les habitants de la terre dans cinquante ans ? Considérant que le parc des terres agricoles diminue vertigineusement, combien en restera-t-il, dans cinquante-ans, pour produire suffisamment d’aliments nutritifs ? Faudra-t-il faire appel aux produits chimiques ?
D’immenses terres et serres, qui produisent tomates et autres, se transforment pour cultiver du cannabis et celles qui cultivent des épis de maïs sont détruites pour produire de l’éthanol ! N’oublions pas que pour s’agrandir, les villes doivent déjà envahir une partie plus importante de ces terres agricoles.
Voici un phénomène qui s’annonce déjà soit l’immigration qui a aussi tendance à quitter les régions devenues moins fertiles et à choisir de peupler le centre des grandes villes, contribuant ainsi à déséquilibrer la répartition de l’occupation du territoire en dépassant désormais le 50% des sites urbains.
L’impossibilité à donner tous services dans les villes. En conséquence, il y aura une surpopulation surtout dans les villes avec le besoin, comme exemple, de disposer des ordures ? Comment arriverons-nous à faire disparaitre ces ordures quand on peine à y arriver de nos jours ? La planète deviendra-t-elle un immense dépotoir ?
Plusieurs villes refusent de recevoir les nouveaux citoyens car les sources d’eau potable ont atteint le maximum de leur capacité et sont même taries.
Malgré l’intérêt pour les transports en commun, l’euphorie des voitures automobiles continuera à augmenter le trafic sur les routes toujours plus encombrées surtout dans les villes.
Outre le Québec, le reste de la planète ne produira pas suffisamment d’électricité pour abreuver les nouvelles voitures électriques ainsi que tous les besoins quotidiens d’appareils électriques et numériques réclamés par la surpopulation.
Déjà la population de l’Inde dépasse celle de la Chine. Et le Nigéria sur le continent africain devient le troisième pays le plus populeux de la planète, bien avant les États-Unis.
Le réchauffement de la planète est indéniable et incontournable.Tous les efforts combinés que nous envisageons ne réussiront qu’à ralentir la hausse de la température créée par l’activité des humains, sans pour autant oublier que la Terre est, depuis des millénaires, en voie de réchauffement. Nous sommes déjà un glacier fondu.
Les humains du futur devront se conditionner à vivre à une température plus élevée et un territoire magané. Seuls les plus forts de la race humaine surpeuplée survivront. Comme l’Histoire l’a démontré. La nature se chargera peut-être de solutionner ce problème occasionné par la densification de la population.
Comme un phénomène normal, les eaux des océans monteront jusqu’au point d’anéantir de nombreuses zones terrestres. Un grand nombre d’îles habitées et des villes entières de nos continents seront submergées. Une migration intenable se dirigera obligatoirement vers les territoires dans les hauteurs et vers les pays du nord plus protégés dont notre pays.
Ce déplacement des peuples causera inévitablement des heurts et des affrontements entre les humains qui se disputeront les parcelles de terre et qui devront apprendre à cohabiter, si cela puisse être encore possible. Voilà un aspect de la surpopulation qui viendra compliquer la situation.
Tout cela n’arrivera pas soudainement, mais progressivement. La nature fait les choses lentement. La population du globe s’acclimatera-t-elle à tous ces bouleversements. Le Québec ilsgrâce à son étendue et son sol plus prolifique améliorera peut-être son sort, mais ne sont pas nombreux à pouvoir en faire autant. Il ne règlera pas pour autant le sort de l’immense planète à lui seul. Donc, plus de déchets, plus d’automobiles, plus de pollution. La prolifération de la population provoquera une recrudescence des problèmes endémiques que nous essayons avec peine à résoudre actuellement.
Dans cinquante ans, le Québec lui aura atteint une population au-delà des 10 millions. La population diminuera dans les vastes régions, mais l’agglomération de Montréal, comme toutes les grandes villes, vivra une densification outrancière de la population. La population actuelle du Québec est déjà de 8,4 millions d’habitants.
Je ne peux continuer sans cesse ce texte où le sujet de la surpopulation de la planète devrait être la plus importante préoccupation de l’heure. Il y a tellement de choses à dire.