Pourquoi pas le Festival des hommes Blancs hétéros ?

Il y en a que pour la diversité par les temps qui courent. Le Canada sans oublier le Québec est un pays accueillant, tolérant et ouvert. L’actualité prodigue une démonstration ostentatoire de cet état de fait.

Les groupes qui s’inspirent de l’acronyme LGBTQ+ font la manchette en cette période. Le festival  de la Fierté qui démontre la présence des homosexuels et lesbiennes sous l’appellation anglaise de Gay bat son plein comme jamais cette année. Les médias leur accordent une place prépondérante, disons même outrancière. On y célèbre la différence sexuelle hors norme. Il y a tant de pays qui les exècrent  au point de les exécuter.

La grande fête inclut ceux qui pratiquent leurs ébats sexuels avec les deux sexes également. Comme si cela avait une importance au point de les médiatiser.

Viennent s’ajouter les Trans, soit ceux et celles qui sont insatisfaits du sexe dans lequel ils sont nés et qui souhaitent qu’on les reconnaisse comme appartenant  à l’autre sexe. Ils sont peu nombreux, mais souhaitent se joindre publiquement à la Fierté. Lire la suite

La « diversité » est-elle loin de nous façonner un meilleur pays ?

La mode vient de lancer le terme de « la diversité » au premier rang du développement de notre société. Si l’on remet son éligibilité en cause, on devient aussitôt « raciste », soit l’accusation la plus lapidaire que je connaisse.

Le gouvernement fédéral sous la houlette de Justin Trudeau a abandonné le terme du « multi-culturalisme » pour s’approprier celui de la « diversité ». Trudeau veut créer un Canada où les multiples cultures immigrantes peuvent s’y établir et conserver leurs acquis d’origine, à condition de parler la langue soit française ou soit anglaise. Ce concept donnera au Canada l’allure d’une courte- pointe culturelle. Courte pointe formée de ghettos ! Voilà le multiculturalisme canadien ! Lire la suite

La télévision est-elle encore le miroir de notre société ?

Quand on a 80 ans, nos activités performantes se raréfient et le temps que l’on consacre à regarder les émissions de la télévision s’insère aisément dans notre agenda.  Nous devenons des téléspectateurs assidus, et même plus, des critiques éclairés.

On a toujours dit que la télévision, et les médias en général, étaient le miroir de la société. Que ce soit à travers les émissions d’informations, les variétés, les téléséries, les « shows » de chaises où les opinions fusent et les commentateurs de tout acabit qui souvent palabrent sur des sujets qui leur sont familiers, mais en oubliant les faits délictueux, on finit toujours par s’y reconnaître.  V’là la vraie télévision qui projette les images de la réalité dans laquelle on se réinvente et qui dessine notre identité.

Mais voilà que je ne m’y retrouve plus. Ce que je vois à la télévision, c’est une société qui se métamorphose à vive allure en une fresque qui ne ressemble plus à ces 80 ans que je viens de vivre, à tout ce que j’ai appris, à tout ce que j’ai contribué à construire. Lire la suite