Le 9 juin 2024.
Quand j’écoute de la musique classique et de grands airs d’opéra, quand j’écoute des airs de notre folklore autant canadien et américain que français, je fredonne toutes ces mélodies avec une grande aisance même si je ne les ai pas entendues depuis belle lurette. C’est toujours un plaisir de les réentendre et de les reconnaître aussi facilement.
Imaginez qu’après avoir fréquenté mes 82 ans, il s’est déroulé tout un répertoire musical, même très lointain. À tel point que je me demande quand j’ai entendu ces mélodies pour les apprendre et les retenir. Elles sont enfouies dans les méandres de mes souvenirs. Elles surgissent à l’improviste et je les reconnais comme si c’était hier. Mais quand était-ce ?
Commençons par la musique classique, que ce soit ‹ l’ouverture 1812 › de Tchaïkovski, ‹ la marche nuptiale › de Mendelssohn, la célèbre ‹ 5e symphonie › de Beethoven, ‹ les sonates, concertos et opéras › de Mozart, ‹ la Polonaise › de Chopin, ‹ les valses › de Johann Strauss, la ‹ célèbre marche › de Chostakovitch, ‹ le boléro › de Ravel et combien d’autres.
Je n’ai aucune souvenance du moment où je les ai écoutées. Quand ? Certes à plusieurs reprises pour si bien les connaître. Mais quand ? Je les fredonne pourtant si aisément. Lire la suite