GAFAM : Les géants américains du Web roulent sur l’or !

À eux seuls, les 5 titres du GAFAM  représentent  aujourd’hui près de 25% de la capitalisation boursière du S&P 500 de la bourse de New York, le plus important indice boursier du monde, soit 6939 milliards US ou  8890 milliards CAN.  C’est ce que rapporte Michel Girard dans le Journal de Montréal de samedi.

Le GAFAM roule sur l’or.

Le directeur parlementaire du budget à Ottawa a calculé qu’une nouvelle taxe de 3% sur les revenus du GAFAM ,  soit  21 milliards l’an, rapporterait  632 millions l’an.

Justin Trudeau attend de joindre une manœuvre commune de tous les pays du G7 pour imposer sa taxe de 3% puisqu’il craint des représailles de Trump qui veut défendre les multimillionnaires américains du GAFAM. Lire la suite

Maudits capitalistes !

« Maudits capitalistes qui ne cherchent qu’à faire des profits ! »  Voilà le cri de ralliement d’un fort groupe de la population et des syndicats ! « Vive la nationalisation ». C’est à croire que la bureaucratie gouvernementale fera mieux ! Que cette monstrueuse machine opérée par une armée de fonctionnaires, qui font la gloire des humoristes, est apte à remplacer la rigueur du « privé ».  

Il a fallu la pandémie et la tragédie des CHSLD pour que les syndicats et leurs membres crient « haro » contre le privé parce qu’il paie moins cher les aide-soignants et fait donc des profits sur la qualité des soins donnés aux résidents.

Pourtant autant de résidences « privés que publiques » ont fait les frais des éclosions de la Covid 19 et les ont mal maîtrisées.  Les mortalités astronomiques de nos vieux en furent le résultat.

Il en coûte 80,000$ au public pour prendre en charge un de nos vieux. Il en coûte 60,000$ à l’État pour confier ce même vieux au privé. Lire la suite

La page blanche d’un blogueur.

Mon plus récent texte date du 2 juillet. Je n’ai rien écrit depuis cette date parce que je suis victime de la page blanche, c’est-à-dire que je ne trouve aucun sujet à discourir.

Je sais que l’actualité est remplie d’occasions et d’événements que tous les blogueurs s’empressent de commenter à profusion. Je n’aime pas emprunter cette voie. Je touche à l’actualité quand il me semble qu’on a négligé un aspect et qu’il peut susciter un intérêt pour les vieux.  Mais voilà que cette situation ne s’est présenté et mon cerveau n’y a trouvé aucun aspect qui puisse l’intéresser.

Le voilà le fameux syndrome de la page blanche. Il m’électrocute maintenant.  Depuis que j’entretiens ce blogue, j’ai écris 251  textes sur une base hebdomadaire ou demi-hebdomadaire. Je suis fier de ce que j’ai écrit même si certains textes m’ont paru ternes.

J’admire ceux qui pondent des opinions chaque jour ou presque. Je n’ai pas cette prétention. Un texte hebdomadaire me suffit même si cela n’est pas suffisant pour entretenir un lectorat élevé. Malgré cette fréquence que je qualifie de normale en ce qui me concerne. C’est pourquoi je m’éloigne autant que je peux de commenter seulement l’actualité à chaud.

Je souhaite traiter de sujets qui peuvent intéresser les vieux. Que soit l’actualité ou des sujets de fond.  Ce sont ces sujets qui ne se sont pas présentés à ma mémoire. À mon âge, la mémoire est souvent défaillante.

D’ici quelques jours, un jour ou deux ou trois, je vais défier la page blanche et reprendre ma production normale soit hebdomadaire. Je tiens à remercier les lecteurs qui me seront restés fidèles. Sinon vous pourrez claironner mon retour.

Claude Bérubé.

Pourquoi sont-ils des victimes à vie ?

Les victimes dont je fais mention sont les mêmes dans tous les pays. Pourquoi ?  Ce sont ceux –là qui souffrent d’intimidation et d’intolérance. Ce sont les noirs, les minorités visibles, les autochtones dans presque tous les pays. J’ai bourlingué dans nombre de pays pour constater mon affirmation.  On retrouve les victimes généralement dans des quartiers minables où la pauvreté règne en maître.

Convaincus qu’ils sont laissés pour compte, ils luttent pour survivre. Ils n’arrivent pas à s’intégrer dans la  société qui dirige le pays.  Les plus dictateurs réussissent facilement à prendre le pouvoir et s’enrichir à leurs dépens. Dans certains pays, ce sont des villages entiers et que dire quand ce n’est pas le pays entier. Le chômage y est endémique. Ils deviennent les attractions pour les touristes.

Certains pays leur accordent quelques privilèges comme le nôtre, mais ils sont rares. Parfois, on a l’impression que les pauvres se complaisent dans cette pauvreté.  Ce sont souvent leurs pairs qui les exploitent. Il y a ceux dont le leadership les maintient dans cette situation et les gangs de rues qui font la loi et entretiennent la criminalité sous tous ses visages. Lire la suite