Doit-on jeter le PUBLI-SAC à la poubelle ?

Ce texte est long et important. Ne vous découragez pas.

À Montréal, il existe un débat qui n’existe pas en région. Il met en présence les anti-Publi-Sac et les pro-Publi-Sac !  Les premiers pour des raisons écologiques et les autres pour des raisons économiques. 

Si Montréal bannissait les sacs sur son territoire, le concept entier des Publi-Sacs disparaitrait  par manque de rentabilité selon la compagnie. Par conséquent, les autres régions du Québec perdront, ipso facto, le sac hebdomadaire, incluant leurs hebdos locaux dont plusieurs ne survivront pas.

Imaginez d’immenses territoires du Québec privés de cette source d’informations rédactionnelles et d’annonceurs. Valérie Plante, la mairesse de Montréal, a, par conséquent, entre ses mains le sort  des 3,5 millions de sacs, livrés à toutes les portes, dans le Québec. Lire la suite

EN BREF. Dans le débat sur la loi 21, pourquoi ne tient-on pas compte des enfants ?

Tous les opposants à la loi 21 s’élèvent contre les restrictions apportées aux signes religieux apparents, s’attardant surtout sur le port  du voile. Un droit fondamental disent-ils !  Mais on oublie l’influence religieuse sur les enfants du primaire. La raison fondamentale de l’inclusion des enseignants en autorité.

Quand j’étais petit, la majeure partie de nos enseignants religieux portait la soutane et le col romain. Ils sont nombreux les enfants qui rêvaient d’accéder au sacerdoce et au port de cette soutane. C’était mon cas jusqu’à l’âge de douze ans. Nous étions influençables devant cet étalage de soutanes et des vérités qu’elles recélaient.

 Oui, les enfants rêvent depuis toujours de devenir pompiers, policiers, médecins et leurs jeux en revêtaient les costumes appropriés. Les soutanes disparues, ils ne rêvent plus de devenir religieux Lire la suite